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21/01/2010

Ma nuit chez Maud d'Éric Rohmer, par Francis Moury

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11/01/2010

La boulangère de Monceau et La carrière de Suzanne d’Éric Rohmer, par Francis Moury

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04/01/2010

Le Romantisme allemand de Douglas Sirk, par Francis Moury

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15/12/2009

Surréalisme et réalisme dans le nouveau triptyque d’Alexandre Mathis, par Francis Moury

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Photographie (détail) de Juan Asensio.

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15/11/2009

Nosferatu le vampire, par Francis Moury

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06/11/2009

Le structuralisme sans son magicien, par Francis Moury

Ce que les Nambikwara sont devenus.

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27/10/2009

Cinéma et télévision ontologiques selon Roberto Rossellini, par Francis Moury

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18/10/2009

Danse macabre d’Antonio Margheriti, par Francis Moury

Capture d'écran : Francis Moury

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09/10/2009

Edgar Allan Poe dans la Zone

Crédits photographiques : Dr. Robin Young.

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12/09/2009

Le Coup de l’escalier de Robert Wise, par Francis Moury

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25/08/2009

Le Golem de Paul Wegener et Carl Boese, par Francis Moury

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18/07/2009

Les deux visages du Dr. Jekyll de Terence Fisher, par Francis Moury

Crédits photographiques : Walter Piorkowski.

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16/05/2009

Le dernier travail de Platon, par Francis Moury


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05/04/2009

Peut-on moraliser le capitalisme ? Brèves notes critiques sur les réponses de Nicolas Tenzer et André Comte-Sponville, par Francis Moury

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Photographie : Axel Schmidt/AFP.


Modeste et paradoxale contribution à une moralisation du capitalisme, ici.

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18/03/2009

D’une nouvelle position des vieux problèmes, par Francis Moury

Le photographe, Michael Clancy, a été le témoin de cette scène extraordinaire. Elle montre la main de Samuel Alexander Armas, un fœtus de 21 semaines souffrant d'une maladie du nom de Spina bifida qui devait être impérativement opéré à l'intérieur de l'utérus de sa mère par le chirurgien Joseph Bruner.


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15/02/2009

La vie et la mort du système de G. W. F. Hegel, par Francis Moury

Photographie (détail) de Juan Asensio.

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10/01/2009

Antoine de Baecque et l’ontologie historiale du cinéma, par Francis Moury

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Photographie (détail) de Juan Asensio.

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29/12/2008

Gerbert d’Aurillac, héritier de Boèce, an 1000, par Francis Moury

Isagoge Geometriae, fol 12v, traité de géométrie de Gerbert d'Aurillac, manuscrit bavarois du XIIe siècle, collection Schoenberg.


Notes critiques, philosophiques et historiques sur Gerbert d’Aurillac, Correspondance (texte latin introduit, édité, annoté, et traduit en français, avec tables de concordances et cartes, par Pierre Riché et Jean-Pierre Callu, nouvelle édition Les Belles Lettres, coll. Les Classiques de l’histoire [de France] au Moyen Âge fondés par Louis Halphen, 2008).

«Les gens cultivés le savent, les incultes souvent s’en sont étonnés : une vertueuse alliance, une sainte amitié, quand elles ont bien commencé et qu’elles sont mieux encore entretenues, sont causes de grands biens. Et parce que la cause de ces biens est bonne, il est nécessaire que soit également un bien ce qui en est le produit. En effet, d’où vient la stabilité des familles, des cités et des royaumes, si ce n’est de l’alliance et de l’amitié ? Est-il autre chose pour avoir, loin des chemins, attiré les mortels au désert, sinon l’alliance avec Dieu ? Le monde, lui-même, sous l’action de la Puissance qui est lui est opposée, est tantôt en désaccord, tantôt en concorde amicale avec elle. Cette même union lie dans l’homme le corporel à l’incorporel.»
Gerbert d’Aurillac, Correspondance, Annexe I, Lettre n°217 à Wilderod, op. cit., supra, p. 583.

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22/12/2008

Les deux visages de Périclès, par Francis Moury



Sur le livre de Donald Kagan, Périclès. La naissance de la démocratie [1991] (traduction française par G. Villeneuve, éditions Taillandier, coll. Biographies, 2008.)

978-284734-320-5.jpg«Seule entre toutes les républiques existantes, supérieure à sa renommée, Athènes ne redoute pas l’épreuve. L’ennemi qui est venu l’attaquer n’a point à rougir d’avoir été vaincu par un peuple indigne de la victoire, et ceux qui nous obéissent ne peuvent reprocher à la fortune de les soumettre à des hommes qui ne sont point nés pour l’empire. Tout enfin autour de nous, offre des monuments de notre grandeur, qui nous assurent l’admiration et du siècle présent et des âges à venir; et pour étendre notre gloire, nous n’avons besoin ni d’un nouvel Homère, ni de toutes les fables dont l’agrément soutient une illusion que bientôt détruit la vérité des faits.»
Thucydide, Guerre du Péloponnèse, Livre II, § XLI extrait du Discours de Périclès aux funérailles des Athéniens tués pendant la première année de la guerre (arguments, texte grec, traduction littéraire et traduction juxtalinéaire, notes par M. Sommer, éd. Hachette, coll. Les auteurs grecs expliqués d’après une méthode nouvelle par deux traductions françaises, 1873), pp. 126-128.

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13/12/2008

Meurtres sous contrôle de Larry Cohen, par Francis Moury

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02/12/2008

Lord of the Flies de Peter Brook, par Francis Moury

Francis Moury pour la capture d'écran.


Heart of darkness de Joseph Conrad est l'une des sources les plus évidentes du roman de William Golding.

Fiche technique succincte
Réalisation : Peter Brook
Production : British Lion Corp. (Dana Hodgdon, Gerald Feil, Lewis Allen)
Scénario : Peter Brook, 1963, d’après le roman de William Golding, Lord of the Flies (1953)
Directeur de la photographie : Gerald Feil, Tom Hollyman
Montage : Gerald Feil, Jean-Claude Lubtchansky, Peter Brook
Musique : Raymond Leppard

Casting succinct
James Aubrey, Tom Chapin, Hugh Edwards, Roger Elwin, Tom Gaman, etc.

Résumé du scénario
Durant la Seconde Guerre mondiale, un avion évacuant des enfants anglais vers l’Australie s’écrase sur une île déserte perdue dans l’océan Pacifique. Certains survivants tentent de maintenir les lois de la civilisation mais les autres régressent inexorablement au stade le plus archaïque des sociétés primitives.

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14/11/2008

Les Vierges de Satan de Terence Fisher, par Francis Moury

Crédits photographiques : Edgard Garrido (Reuters).

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26/10/2008

La chambre des tortures de Roger Corman, par Francis Moury

Crédits photographiques : Dr. Bernardo Cesare.

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01/10/2008

Les Envoûtés de John Schlesinger, par Francis Moury

Crédits photographiques : Tara Todras-Whitehill (AP Photo).

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30/08/2008

L’Ange de la vengeance : Ferrara ou le cauchemar de Thana, par Francis Moury

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15/08/2008

La Faille de Gregory Hoblit, par Francis Moury



Fiche technique succincte
Mise en scène : Gregory Hoblit
Prod. : Charles Weinstock (New Line Cinema, Castle Rock Entertainement, Weinstock Prod., M7 Filmproduktion)
Scénario : Daniel Pyne et Glenn Gers d’après une histoire originale de Daniel Pyne
Directeur de la photo : Kramer Morgenthau
Montage : David Rosenbloom
Mus. : Mychael et Jeff Danna

Casting succinct
Anthony Hopkins (Ted Crawford), Embeth Davidtz (femme adultère de Crawford), Billy Burke (inspecteur Nunally), Ryan Gosling (procureur adjoint Willy Beachum), Rosamund Pike (Nikky), David Strathairn (procureur), etc.

Résumé du scénario
Le riche industriel Ted Crawford, un magnat de l’aéronautique, pense s’être vengé de son épouse, et de l’amant de celle-ci qui est un inspecteur de police, en commettant un crime parfait… qui échoue pourtant. Un jeune procureur adjoint, Willy Beachum, suppose le faire aisément inculper pour tentative de meurtre. Il a tort : Crawford ressort libre du tribunal, provoque le suicide du policier mis en cause et parachève le meurtre de son épouse. Alors seulement Beachum mesure à quel point Crawford l’a manipulé et quel danger il représente…

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05/04/2008

Le Spleen de Néris-les-Bains, petites pensées en prose, par Francis Moury

Néris-les-Bains


Cher Juan.

Malhabilement, je tente d'écrire dans le noir — simplement éclairé par la lueur blafarde de mon écran portable dont je manipule le clavier avec moins d'aisance que celui de mon ancien ordinateur fixe qu'il me tarde de réutiliser — depuis ma fenêtre donnant sur la place solitaire et obscure, à cette heure déjà tardive de la nuit, du casino de Néris-les-Bains, mes impressions, suite à ma lecture de ta très belle critique du texte de E. A. Poe.
C'est une de tes plus belles critiques, portées par une suggestion pointue de Boutang concernant, en effet, l'idée d'un temps sans faille, réconcilié, in illo tempore auquel s'oppose de toute évidence le temps non-réconcilié de la conscience morbide puis d'un univers devenu lui-même morbide. Conscience et maladie ne sont jamais très éloignées chez Poe : elle entretiennent un rapport dialectique. Celui qui l'a le mieux montré est sans doute Gordon Hessler dans le plan final du génial The Oblong Box [Le Cercueil vivant] qu'il tourna vers 1970 : davantage qu'une adaptation, il s'agissait d'une amplification démentielle portant à l'incandescence certains des thèmes les plus authentiquement fantastiques du conteur de Baltimore si passionnément psychanalysé par Marie Bonaparte !
Il y a une conscience de la vie et une conscience de la mort chez lui, comme il y a en psychanalyse une pulsion de mort et une pulsion de vie. La nostalgie de l'être (Ferdinand Alquié), celle du Paradis perdu dans la mythologie primitive (Mircéa Eliade et tant d'autres) sont «le classique» de la position. La désolation, la ruine sensible de leur aperception, sont «la modernité» de la contre-position. La synthèse est une curieuse «anti-folie» pour reprendre le terme utilisé par Paul-Hervé Mathis dans son article déjà ancien mais filmographiquement remarquable paru sur Edgar Poe dans un beau numéro de la revue Écran de 1977 qui comportait une image du Corbeau de Corman en couverture. Il faut lire aussi la section Corman du très bel article de Lise Frenkel sur Cinéma et psychanalyse paru vers 1971, article d'ailleurs commenté trop vite par Jean-Marie Sabatier dans ses beaux Classiques du cinéma fantastique (éditions Balland, 1973).

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16/12/2007

Danger : planète inconnue, par Francis Moury

Crédits photographiques : Nikon Small World.

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27/11/2007

Bellum civile ou Civil War in France : intégralité des textes

Crédits photographiques : Esam Omran Al-Fetori (Reuters).

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05/11/2007

L’humanisme classique de Michel Desgranges ou l’actualité des Belles Lettres, par Francis Moury

Giovanni Bellini, Portrait d'un humaniste, 1475-80

«La tendance générale de ces intellectuels, en marge de la vie comme les Cyniques ou les premiers Stoïciens, ou soucieux de préparer une autre vie, comme les fils de Pythagore ou de Platon, elle est fort bien marquée dans ce court dialogue, plus dense que les longues dissertations :
- Marié, pourrai-je philosopher ? demande un jeune homme à Platon qui répond :
- Incapable de te sauver seul, tu voudrais sauver une femme sur tes épaules ?
Le célibat, aux temps classiques, paraissait la meilleure solution, pour un «clerc» désireux de privilégier la vie de l’esprit, de se consacrer à la méditation. Mais dès les premiers siècles de l’ère chrétienne, les positions ont nettement changé, du moins dans le monde païen.»
Félix Buffière, Éros adolescent – La pédérastie dans la Grèce antique, Livre III Éros chez les philosophes : apologies, condamnations, § 29, 3 (Les Belles Lettres, coll. Études anciennes, série grecque volume n°132, 1980, réimpression 2007), p. 503.

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